La pensée selon Dewey

La pensée est inscrite pour Dewey dans une relation entre ce que nous savons déjà, notre mémoire et ce que nous percevons. Avec cette trilogie, nous donnons un sens aux choses, nous créons, nous en déduisons au-delà de ce qui nous est donné et c’est le produit. “en pensant”. L'inférence a lieu par la suggestion de tout ce qui est vu et retenu; Cette succession d'idées est pensée. Dewey base ce processus sur deux ressources fondamentales et innées: la curiosité et la suggestion ou des idées spontanées. La pensée doit mener à un objectif: une action, un résultat.

1. Le besoin de réflexion
2. L'émotion
3. Pensées scientifiques
4. Domaine du contenu
5. Le reflet
6. Conclusions

Le besoin de réflexion

Dewey soutient que le résultat nécessite une pensée réfléchie, c'est-à-dire, mettre de l'ordre à cette succession d'idées, que cela ne devienne pas une simple concaténation d'idées dans des relations de conséquences, mais que le fait de mettre un certain ordre favorise une pensée orientée vers un but. Soutenir la relation entre la pensée et la rationalité uniquement par cette conduction à la réflexion par le biais d'une comparaison minutieuse et d'un équilibre des preuves et des suggestions avec un processus d'évaluation de ce qui se passe pour arriver à détecter des relations plus précises que ne le permettent les relations, par conséquent, la rationalité ne peut pas être laissée uniquement dans l'observation, mais elle doit examiner la question, inspecter, enquêter et examiner la précision..

Une idée est un plan d'action qui a une fonction constructive, car des idées surgissent pour résoudre des problèmes, acceptant comme vraies parmi les idées les plus réussies. La rationalité de Dewey est liée à la pensée dans l'idée de la méthode réflexive (compétence logique) introduisant des connaissances empiriques menant à un objectif de l'initiative, à la spontanéité, au travail et à la responsabilité..

Cette construction conduit à quelque chose à faire et à un résultat, face à un difficulté mentale en cinq phases:

1. Apparence de suggestions
2. Intellectualisation de la difficulté
3. Développement d'hypothèses
4. Le raisonnement
5. Test d'hypothèses

Donc, la rationalité de la pensée réflexive rend l'action possible avec un objectif conscient et rend possible le travail systématique et l’invention et enrichit les choses de sens. Dans le texte, il mentionne cette relation entre pensée et rationalité en tant que méthode ”Ce sera probablement une bonne idée quand le sujet aura des attitudes de soin, de rigueur, etc.”.

Bien qu’elle s’éloigne de la logique formelle en faisant référence à une pensée réelle qui se produit dans un contexte que ladite logique ne prend pas en compte. "La rationalité conduit à une harmonie opérationnelle entre différents désirs." La rationalité est un examen du savoir issu d'une analyse critique, d'un débat et d'une argumentation. Pour Dewey, la rationalité de la réflexion est la capacité d'apprendre, d'évoluer avec le temps..

La rationalité pour Dewey est la correspondance entre les fins et les moyens. La pensée n’est pas une agglomération d’impressions sensorielles, ni la fabrication de quelque chose appelé “conscience”, et encore moins une manifestation d'un “Esprit absolu”, mais une fonction de médiation et d'instrument qui avait évolué pour servir les intérêts de la survie et du bien-être de l'homme. Cette théorie de la connaissance met en évidence la “besoin de vérifier en réfléchissant à l'action si vous voulez que cela devienne un savoir”. La pensée est un instrument de l'homme pour apprendre.

Dewey essaie d’appliquer finalement le rationnel au quotidien dans le social par le biais de recherches réflexives. Dewey instrumentalise les modèles descriptifs et explicatifs, car il comprend la réflexion dans un processus naturel, mais surtout prescriptif.

L'émotion

L'émotion est un facteur de notre système cognitif. Ainsi, des problèmes tels que celui du mariage ne peuvent être réduits à une étude mathématique ou à un type de représentations mentales. Dans cette définition, les émotions doivent être considérées comme des phénomènes multifactoriels complexes comprenant, entre autres, les aspects suivants: une évaluation cognitive (¿Cela correspond-il à une description de la situation?) situation - appréciation; un ensemble très divers de changements physiologiques - principalement liés au système nerveux autonome -; ¿Ce n'est pas comparable à la spécification de la situation? une série d'expressions manifestes ou de comportements visibles - expressions faciales et gestuelles; un élément de motivation qui se traduit par une intention ou une tendance à l'action ¿Et ce ne serait pas une description des ressources qui peuvent être utilisées ou non pour atteindre un objectif? et un état subjectif-expérientiel ou sentimental -aspect hédonique de l'émotion.

Pensées scientifiques

Les concepts scientifiques ont, par définition, une structure logique la plupart d'entre eux ont une nature relationnelle très accentuée, ce qui signifie que le noyau ou le sens du concept détermine quels sont leurs attributs pertinents; Or, il est prouvé que la plupart des gens ont une idée fausse ou s’écartent de nombreux phénomènes scientifiques et que cette conception est en partie adaptée aux exigences des théories probabilistes. Peut-être pour cette raison, on peut affirmer que les concepts scientifiques défini ne représente pas la façon dont les gens conceptualisent généralement le monde.

Et c’est peut-être pour cette raison que je n’ai pas obtenu de réponses satisfaisantes aux débats et que j’ai parlé de manière aussi générale de l’expérience, de la réflexion sur le ressenti, de l’état de ne pas être. Là où j'ai trouvé mon espace je relis mes notes de Cognition et Émotion dans les deux émotions de base de l'individu (approche / fuite) qui ne sont pas régulées de ces théories où le quotidien est assez négligé ou défini comme “mal défini” parce que le rôle des émotions (le processus cognitif le plus archaïque de l'évolution humaine et qui a rendu possible la survie de l'espèce) est ignoré lors de la recherche, de l'exploration et de la résolution de problèmes, ou peut-être est-ce ce qui rend dans les erreurs les plus typiques de la pensée déductive, de la logique formelle, probabiliste ou de toute autre stratégie pour résoudre des problèmes.

Je pense toujours que c'est l'interprétation et la dotation de sens qui rendent possibles les hypothèses et une relation entre l'expérience antérieure et les connaissances qui nous permet de trouver des solutions possibles ou, comme le dit le module, les plus réussies. Bien que ceux-ci puissent, si scientifiques soient-ils leurs vérifications, aboutir à des conclusions scientifiques telles que la terre était plate et arrondie.

Domaine du contenu

Le domaine du contenu, je pense a été satisfaisant de la compréhension des différents. Les modèles explicatifs, normatifs et normatifs, car nous formons les concepts et les problèmes des différentes théories et en fonction de la classification ne sont pas en mesure d’expliquer comment nous formons les concepts..

Le raisonnement déductif issu de la logique naturelle où la capacité innée de l'esprit à accomplir les tâches de certaines règles inférentielles - c'est-à-dire la compétence - aux modèles mentaux dans lesquels le raisonnement est élaboré à l'aide de représentations pouvant découler de la perception et de la langue. Le développement et la vérification d'hypothèses: l'analogie en tant que modèle de pensée scientifique; les théories implicites et les théories de la redescription de la représentation; le test d'hypothèses pour l'acquisition de concepts et la façon dont nous continuons à voir que même les scientifiques voient leur tâche comme une confirmation plutôt qu'une falsification d'hypothèses.

Dans les jugements de probabilité et prise de décision ses heuristiques et ses biais (ancres, corrélations illusoires), l'accessibilité de l'information. Comment, du raisonnement quotidien et formel, ils partagent des structures équivalentes; ou à partir d'un raisonnement informel, nous arrivons à résoudre des problèmes mal définis et à prendre des décisions dans des situations d'incertitude.

Finalement pensée décontextualisée, en contexte et en créativité, différenciant dans le caractère normatif de la première approche méthodologique individualiste de caractère fermé et expérimental pour aller au présent de la psychologie de la pensée actuelle où méthodes de feed-back, construction, coopération et motivation, le culturel, le symbolique , pensée pensante, narrative forment les nouveaux outils de ce moment.

Le reflet

La réflexion a été à tout moment, de la façon dont les idées naissent et comment elles sont médiatisées par notre contexte, comment elles se développent, quel est leur processus. Et surtout, nous avons appris l'hilarité qui découle des concepts et de leurs combinaisons différentes exprimés à travers le langage, leur influence directe sur la pensée et la manière de parvenir aux actes. Les débats que nous avons pu développer sont l'expression de la rationalité, comment et d'où notre savoir, nos expériences et notre recherche ont œuvré pour donner non seulement notre perspective mais aussi pour les imbriquer avec les théories que nous avons traitées au semestre.

Celui-ci la dynamique de notre processus cognitif d'ordonnancement et de séquençage par les normes logiques, les déductions, les stratégies et la façon dont nous faisons des erreurs. Tout cela a enrichi la pensée. Sachant que la mémoire ne reproduit pas exactement nos expériences ou connaissances antérieures et que, sur la base de ces connaissances, nous reproduisons de nouvelles réalités, croyances et hypothèses que nous avons réfutées ou modifiées. Nos idées basées sur ces réflexions que d’autres nous donnent et qui participent à la construction de nos propres.

Je garde dans ma réflexion que la dualité innée et savante, tous les êtres humains (dans le contexte dans lequel ils se situent) participent à une potentialité innée qui se développera en fonction des besoins adaptatifs de leur environnement. Et là commence l'apprentissage d'apprendre à utiliser les ressources à portée de main - y compris celles qui interagissent avec les autres - pour apporter des solutions aux problèmes qui se posent (tant dans la vie quotidienne que dans la science), en particulier dans la pensée créatrice qui nécessite compétences et capacité de travail sans lesquelles la créativité ne serait pas possible.

Le talent et la formation ne s'excluent pas mutuellement mais tous les deux de grand besoin. La pensée créative débouche sur de nouvelles expériences plus développées que d’autres en raison de facteurs culturels et génétiques, entre autres, qui agissent de la même manière que les mêmes expériences se rapportent à des connaissances antérieures et trouvent de nouvelles solutions aux difficultés qui se posent, et en conjonction avec la pensée critique, qui complète le côté droit de l'hémisphère cérébral. Dans cette réflexion, les aspects de l’influence de la créativité, qui peuvent être appris, développés et dépendent du niveau d’importance attribué par chacun à son développement des pensées, James O. Whittaker”.

Créativité et pensée

Vous pouvez apprendre à penser de manière créative et intégrer les processus d'innovation. L'un des points les plus importants est de modifier le rôle de l'instructeur, de l'enseignant, en tant que seul à connaître la matière. Par conséquent, la capacité créatrice dépend non pas de la créativité des personnes mais des conditions qui “Des guides” créer pour encourager l'esprit d'innovation de ses citoyens. Donner confiance en soi aux préférences cognitives des gens, en transformant toujours notre façon de penser et de nous comporter, en motivant et en accordant une attention à l'émotionnel avec une interrelation par la communication.

Relativiser la capacité et la possibilité de règles et règlements. Ne pas s'opposer aux pensées réflexives ou au raisonnement de l'autre, mais les incorporer, les rassembler et les transformer, la créativité comprend la reformulation des idées et le faire comme une attente, pas un risque, les erreurs devraient nous servir à relancer le processus de réflexion, à créer de nouvelles hypothèses, à partager l'imagination. , l'intuition, la logique, le sens esthétique. Un médium riche est nécessaire pour stimuler la pensée créatrice, ce qui semble essentiel.

Il est important de maintenir la spontanéité, de reconnaître les efforts créatifs et de renforcer la capacité créatrice..

Conclusions

La pensée humaine est à mon avis un tout qui, bien qu’elle puisse être analysée par parties dans un travail expérimental cela fonctionne dans un ensemble de processus qui se séparent, sans lien entre eux n'auraient pas la capacité de. C’est ce que je dis de la perception que j’ai dans nombre des sujets qui nous proposent d’analyser les parties, et j’ai le sentiment académique (une condition nécessaire mais non suffisante) de contempler des images d’un être humain boiteux ou invalide de certaines caractéristiques qui stigmatisés comme peu contrôlables et donc peu scientifiques (mais affect et peur sont des émotions qui nous conditionnent même dans les situations les plus expérimentales et même, comme nous l’avons vu, un élément qui renforce la créativité, la réflexion et la rationalité. il produit même des constructions personnelles telles que l'impuissance acquise” et puis cela devient un “pensée d'obstacle” de notre rationalité. ¡Est-il utile de savoir!

La réflexion se pose lorsque l'on veut vérifier la solidité, le rationnel, de quelque chose que nous essayons, c'est-à-dire de prouver sa véracité. Sauf dans les modules de jugements de probabilité et d’élaboration d’hypothèses, où l’on prend pour acquis les règles à suivre pour arriver à ces concepts, la réflexion a été continue et on a vu comment ils réfléchissent au pourquoi des erreurs avec les théories de Tversky et Kahneman sur les heuristiques de représentativité et d’accessibilité ont rafraîchi, repositionné les concepts de la logique formelle en tant que filtre et invitant à la réflexion sous tous les angles, c’est-à-dire avec un travail ordonné et ardu.